Photo de Madame Jacqueline GERIN

Jacqueline GERIN

née COMTE
décédée le 9 mai 2025 à l'âge de 95 ans
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Photo de Madame Jacqueline GERIN
Jacqueline GERIN
née COMTE
décédée le 9 mai 2025 à l'âge de 95 ans

Message de la famille

Chère famille, chers amis,

C'est avec une grande tristesse que nous vous annonçons le décès de Jacqueline GERIN survenu le vendredi 09 mai 2025 à Firminy.

Nous vous invitons à utiliser cet espace pour laisser vos condoléances, partager des photos souvenirs, une anecdote ou exprimer vos pensées à travers des poèmes ou des textes. Cet endroit est un lieu d'expression dédié à honorer la mémoire de Jacqueline GERIN.


Un service de plantation d’arbre hommage est disponible ici.

Cérémonie religieuse

vendredi 16 mai 2025 à 10h00
Église de Beauzac
4 place du monument aux morts
43590 Beauzac

Déroulé des obsèques

1Cérémonie religieuse

Le vendredi 16 mai 2025 à 10h00

Rendez hommage à Mme GERIN

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Arbre du sourvenir
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L'avis de décès

Beauzac le 09 mai 2025

Beauzac, Saint-Étienne

Claire, Denis, Dominique et Frédéric, ses enfants et son gendre ;

Ses petits-enfants ;

Ses arrière petits-enfants ;

Parents et amis ont la tristesse de vous faire part du décès de

Madame Jacky GERIN

née COMTE

survenu le vendredi 9 mai 2025, à l’âge de 95 ans.

La cérémonie religieuse sera célébrée le vendredi 16 mai, à 10heures en l’Eglise de Beauzac.

Cet avis tient lieu de faire-part et de remerciements.

Pas de plaques.

La famille rappelle à votre souvenir

son époux

Louis.

Conservez un souvenir des hommages rédigés dans un beau livre

Exemple de livre hommage
Le Livre Hommage rassemble les condoléances, photos et témoignages partagés par les proches pour honorer la mémoire de Mme GERIN.
Témoignage aux proches

Hommages rendus

10 hommages
1 accompagné de fleurs
  • Il y a 14 heures
    Sophie gerin

    Mamychou,
    Je ferme les yeux un instant et un souvenir apaisant m’apparaît.. Le ciel est bleu, le soleil rayonne. Les oiseaux chantent et les abeilles butinent... Dans la cuisine, un doux mélange de parfums embaume la pièce : d’un côté, la soupe de légumes bien chaude, à laquelle il ne manque plus que quelques grains de tapioca et une goutte de maggy maggy pour la sublimer. De l’autre, une odeur sucrée et agréable : celle de ton gâteau aux pommes, moelleux et fondant. Il émerveille nos narines quand on le hume, et nous réconforte quand on le goûte. 

    Puis nous voilà, dehors… J’ai sûrement 6 ans car je vois le monde, grand ! Je suis accroupie au sol, accomplissant ma mission avec fierté : arracher les mauvaises herbes.. Toi, tu es à genoux sur un tapis de mousse et de feuilles séchées. Tu sembles concentrée. Je t’observe… Tu portes des gants, un chapeau sur la tête, ton pull vert d’eau, et des chaussures en caoutchouc. Tes lunettes, accrochées à une chaîne, reposent sur ton nez et tu chantonnes de ta belle voix.

    Tu es maquillée très légèrement et surtout, tu portes ton rouge à lèvre, rose-orangé, que tu aimais tant. Tu le porteras à chaque occasion, grande ou petite. Tu es là, et tu réfléchis. Surtout ne pas te tromper... car, tu t’apprêtes à donner une seconde vie…à tes rosiers…!

    Oui, Mamychou, je l’avais oublié mais voila pourquoi j’aime tant m’occuper des plantes.. Tu avais la main verte et ton jardin était ton précieux.. Les fleurs étaient ta source d’inspiration… elles sont aujourd’hui la mienne.

    Mais tu n’aimais pas que ça… Tu aimais rire, chanter et raconter tes histoires de vie. Assise sur le canapé, tu nous parlais de ta jeunesse avec tes parents, la guerre, Pilou, vos sorties et notamment le ski.

    Tu aimais aussi la cuisine et la cuisine t’aimait ! Petit déjeuner, déjeuner, goûter, dîner, pas question d’en rater un seul. Tu revendiquais d’ailleurs cette expression « Avoir bon pied, bon œil ». 

    Tu avais aussi ton petit plaisir sacré : tenir entre ton pouce et ton index, tes 2 carreaux de chocolat Nestlé dessert 70% soigneusement découpés, et les plonger profondément dans une tasse de tisane fumante. Ça, c’était TON moment.. et je crois bien.. que c’est le mien, maintenant. 

    Tu aimais aller à la messe, même si parfois tes 3 petits enfants faisaient plus de bruits que la chorale entière. Oui, nous étions très bavard avec Fanfan et Paulo ! 

    Tu aimais recevoir ta famille, la combler de chaleur humaine et d’amour. Tu aimais tes enfants, tes petits enfants. Et tu m’aimais moi, la énième « Poupette » de la famille, comme tu nous appelais tous. 

    Mamychou, aujourd’hui, j’ai peine à croire que tu es partie là-haut. Tu étais dans mes bras il y a si peu.. Ta main chaude dans la mienne, bras dessus bras dessous, on se tenait chaud lors de nos promenades d’hiver. Je te racontais mes histoires et tu racontais les tiennes. Nous passions de si beaux moments...

    Mais je le sais maintenant… Je dois me rendre à l’évidence… : Tu ne connaîtras pas ma propre famille, mes futurs enfants.. J’étais sûrement un peu naïve d’y croire, même un instant.

    Mais Mamychou, je parlerai ! Je dirais au monde qui tu étais ! Et, je te promets, de tout mon coeur, que jamais, au grand jamais, je ne t’oublierai. 

    A bientôt, là haut !
    Je t’aime. 

    Souvenir de Madame Jacqueline GERIN par Sophie gerin
  • Il y a 14 heures
    Jean-Baptiste Thomas

    Cet hommage n'est visible que par la famille
  • Il y a 14 heures
    Jean-Baptiste Thomas

    Cet hommage n'est visible que par la famille
  • Il y a 14 heures
    Jean-Baptiste Thomas

    Texte d'introduction à la cérémonie:

    Bonjour,
    Merci d'être venu pour partager cette cérémonie avec nous et rendre un dernier hommage à ma grand-mère Jacky, mami-Jacky, mamychou.
    Pour ceux qui ne me reconnaissent pas, je suis Jean-Baptiste, un de ses petits-enfants. Je vais vous dresser un portrait de ma grand-mère, avec ses principaux traits de caractère et quelques anecdotes.

    Je voudrais commencer par vous dire qu'elle a toujours été force d'apaisement et d'unité dans notre famille. Il faut ajouter que ce n'est pas une mince affaire vis à vis du caractère assez radical des uns et des autres.
    C'est donc en particulier grâce à son talent que l'on a pu se retrouver presque chaque année et presque tous ensemble pour fêter Noel avec elle à Beauzac, ou à Alex.
    Nous avons aussi tous pu trouver chez elle un refuge, par exemple mes cousines Anaïs et Sophie, et moi-même avons habité plusieurs années avec elle à tour de rôle à Saint-Etienne. La maison de Beauzac a servi plusieurs fois de résidence pour les uns et les autres quand c'était nécessaire. Et nous lui sommes tous redevable pour ces grâces.

    C'était aussi quelqu'un qui a toujours été bien accompagnée et protégée, à travers les vicissitudes de la vie, et qui a aussi toujours été active et sociable.
    Pour illustrer cela, je vais vous faire un historique.
    Commençons par son enfance.
    Elle est née à Roman en 1929, fille unique. Son père Aimé fut nommé dans la Nièvre à Prémery, puis prisonnier en Allemagne durant la guerre, c'est donc Jeanne sa mère qui a fait en sorte qu'elles aient toujours à manger. Ensuite, après qu'Aimé ait réussi à s'évader, ils sont retournés en zone libre, puis à Saint-Etienne ou elle finira de grandir et où elle rencontrera son futur mari.
    Elle s'est passionnée pour le chant très jeune, et a même eu l'occasion de chanter pour un radio-crochet. Elle gardera sa passion pour l'opéra jusqu'au bout et nous régalera avec sa belle voix pendant des années.

    En 1953, elle épouse Louis, Pilou, et elle rejoint ainsi une grande famille, elle qui était fille unique, était enchantée d'avoir des frères et sœurs et neveux et nièces. Elle a ainsi traversé l'époque bien accompagnée par son mari malgré en particulier l'incendie de leur garage qui les a fait recommencer à zéro avec leurs 3 enfants et les crises économiques des années 70-80. Puis à travers les problèmes de l’âge et du veuvage, où mon grand-père qui avait très bien préparé leur retraite s'est assuré qu'elle ne manque de rien après son départ. Ils ont fait du ski très tôt allaient danser, allaient à la gym.
    J'ai toujours vu mon grand-père montrer de l'attention envers ma grand-mère, en lui offrant souvent des fleurs par exemple, il en est resté très amoureux jusqu'à la fin je crois. Il en reste 3 enfants, 8 petits-enfants et 8 arrière-petits-enfants.

    C'est aussi dans les années 60 que la relation avec Beauzac s'est établie. Mr Chapard et mon arrière-grand-père avaient "trouvé" et commencé de venir à Beauzac avec famille et amis en louant un meublé à Mr et Mme Morel. S'en est suivi des épisodes de Volley Ball avec Jacques et Michel Sabot, Bob et Liliane Petiot, et généralement avec toute l'équipe de Beauzac, et les Pique-Niques au bord du Ramel. Jusqu'à ce que Jacques Sabot achète un terrain à la Garenne à Mr Margerie, le père de Toussaint, et prévienne mon grand-père qui a pu acheter aussi et faire construire une maison. Il en résulte une attache géographique extrêmement forte, pour tous ceux ici, et aussi ceux qui nous précèdent dans le caveau du cimetière de Beauzac.

    D'autre part, la fille unique que ma grand-Mère était a toujours cherché dans ses amies les sœurs qu'elle n'avait jamais eu, et on se souviendra de ses copines de classe, et de ses belles-sœurs. Et elle a beaucoup souffert de les voir partir devant elle les unes après les autres.

    Finalement, après la disparition de son mari, elle a été soutenue par ses enfants jusqu'à la fin.
    Sa fille Claire l'a prise avec elle au quotidien pendant 6 ans à partir de 2017 ou elle ne pouvait plus vivre seule, puis quand Claire fut dans l'incapacité de le faire, c'est son fils Denis qui l'a accompagnée à Beauzac pour la dernière ligne droite. Ils étaient soutenus pendant toutes ces années par Dominique et Frederic qui venaient passer des semaines entières régulièrement et alléger leur quotidien, malgré leurs propres problèmes. Elle n'aura donc jamais connu d'EHPAD, et n'aura finalement passé que 2 jours à l'hôpital, à la toute fin.

    Cette fin doit se conclure aujourd'hui, avec vous, par cette messe.
    Je vous remercie encore d'être venus pour elle, et je vais laisser Mr le curé procéder à la cérémonie.


  • Il y a 17 heures
    François Gerin

    La première image qui me vient quand on parle de ma grand-mère… ce n’est pas une image.
    Ce sont des bruits.

    J’ai 10 ans, ou peut-être 15, je ne sais plus.
    Un bruit de volets me réveille. Il est 8 h, ou 8 h 30 peut-être.
    Je suis dans un dortoir, à Beauzac, dans une maison de campagne.
    Dans les lits à côté du mien, il y a ma sœur, mes cousins, cousines, mes tantes, mon oncle, mon père.
    Quelques ronflements couvrent les chants des oiseaux.
    Au loin, on entend les cloches de l’église.

    J’entends un plancher qui craque, puis quelqu’un qui descend les escaliers.
    La porte d’entrée se referme.
    Et une voiture démarre.

    J’ai envie de me lever, mais je vais attendre.
    Parce que le bruit que je viens d’entendre, c’est Mamy qui a ouvert les volets.
    Elle est partie en voiture chercher des ficelles.
    Ces longues baguettes fines sur lesquelles on met du beurre et de la confiture.
    Et je sais que si j’attends encore un peu,
    quand je descendrai tout à l’heure,
    elle aura déjà préparé le petit-déjeuner.
    Elle me fera chauffer du lait pour mon cacao.

    Ce souvenir, ce moment de plénitude… c’est bien plus que ça.

    Le silence du matin, les volets, le plancher,
    c’est la maison de campagne que Papy et Mamy ont construite pour accueillir nos fêtes de famille.
    Le bruit du clocher, c’est la religion sur laquelle notre famille s’est bâtie,
    et le clocher, c'est l’église où Mamy aimait se rendre,
    d’où sa voix ressortait toujours
    une voix qu'elle travaillait en se rendant à la chorale toutes les semaines.

    Et le petit-déjeuner…
    c’était bien plus que du cacao chaud ou des ficelles encore tièdes.
    C’était une preuve d’amour.
    Un soin discret mais constant,
    qui allait du matin au soir
    et qui disait, sans un mot : “Je suis là, je veille sur vous.”

    Même après le départ de Papy,
    Mamy a continué de faire exister cette bulle,
    cette parenthèse hors du temps,
    où chacun de nous pouvait revenir, se poser, se sentir à sa place.

    Elle nous offrait du réconfort,
    mais aussi un exemple.

    Celui d’une femme pleine de douceur, toujours souriante,
    à chantonner en cuisine ou dans le jardin,
    qui ne se plaignait jamais.
    Une force tranquille,
    qui savait rassembler sans jamais forcer,
    et diriger sa famille avec fermeté, mais sans dureté.

    Cet héritage ne s’éteint pas aujourd’hui.
    Il continue de vivre en chacun de nous.
    À nous, maintenant, de le transmettre à notre tour.

    Au revoir, Mamy.

  • Il y a 21 heures
    PASCALE MICHELIS

    Il me reste en mémoire l'image d'une femme toujours de bonne humeur, active, en cuisine pour le bonheur de tous comme dans le jardin où elle s'affairait pour faire éclater les couleurs du printemps. Elle aimait à retrouver toute sa famille autour d'une grande table à beauzac où il régnait une belle effervescence. Il me souvient de sa gourmandise, de son dynamisme et de sa grande ferveur catholique qui poussait à l'admiration.
    Je suis de tout cœur avec vous, ses enfants ses petits-enfants et arrière petits-enfants car je sais la douleur de perdre une mère.

  • Il y a 1 jour
    Aurore Deniel

    Cet hommage n'est visible que par la famille
  • Il y a 1 jour
    Aurore Deniel

    Cet hommage n'est visible que par la famille
  • Il y a 2 jours
    Eric Wathelet

    Cher Denis, Chères toutes et chers tous,

    Je m'associe à la peine de Denis, Claire et Dominique, de la famille Gerin et des amis de Jacqueline.
    Je garde un doux souvenir de Louis et de Jacqueline le jour de mon mariage (photo du 1 aout 1987).
    Une grande joie de les voir et de nous retrouver.
    Merci de leur accueil chaleureux à Beauzac ou St Etienne, de leur tendresse. Ils restent présents à mon cœur.
    Je les sais maintenant heureux ensemble au paradis où leur joie est parfaite. Qu'ils prient pour nous (avec Jules et Monique mes parents) et nous apportent la paix.

    Florence et Eric

    Souvenir de Madame Jacqueline GERIN par Eric Wathelet
  • Il y a 2 jours
    Jean Marc Laye

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